dimanche 30 septembre 2012

Journal du 30 septembre 1889

A la salle d'armes, un tas de marquis, de comtes. Ces gens-là vivent de leur nom comme d'autres de leur travail. Ils me produisent une forte impression. Plébéien, fils d'un paysan, je les crois tous imbéciles. Pourtant, ils m'imposent, et, quand je passe devant leurs tristes académies nues, je leur demande pardon avec timidité.

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