vendredi 22 juin 2012

Journal du 22 juin 1894

Au moment où le condamné a la tête dans la guillotine, il devrait y avoir un silence avant que le couteau tombe. Un garde républicain sortirait des rangs et remettrait au bourreau une enveloppe et celui-ci dirait au condamné: "C'est ta grâce!" Et il ferait tomber le couteau.
Ainsi le condamné mourrait dans la joie.

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