lundi 8 juillet 2013

Journal, un jour de juillet 1905

De la paresse! Ah! il faudra bien que je l'écrive, ce livre-là! Le sot qui sent sa sottise n'est déjà plus si sot, mais le paresseux peut connaître sa paresse, en gémit, et le rester.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

En publiant un commentaire sur JulesRenard.fr, vous vous engagez à rester courtois. Tout le monde peut commenter (Les commentaires sont publiés après modération).